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Dimensions
subtiles
et
symboliques
du
cancer

Le cancer touche un homme sur deux en France, et plus d’une femme sur trois. Si elle fait peur, de son aspect le plus dense jusqu’à son empreinte subtile, peut-on identifier les dimensions multiples imbriquées dans cette maladie complexe ?
Dimensions subtiles et symboliques du cancer
Santé corps-esprit
Quinze millions de cas de cancer sont déclarés chaque année dans le monde, conduisant cette maladie à devenir, très prochainement, la première cause de mortalité à l’échelle mondiale avec huit millions de décès. Jamais, jusqu’alors, autant de diagnostics n’avaient été posés. Cette augmentation constante du nombre de cancers retranscrit dans la réalité des malades et des soignants une complexe interaction entre évolution biologique, comportements et modes de vie d’une part, puis dimensions émotionnelles et symboliques d’autre part.

Alors, si l’apparition du cancer est corrélée à l’évolution des êtres vivants, il s’accroît à notre époque et devient un révélateur brutal de comportements et d’aspirations en rupture franche avec le système « vie ». Comment le cancer peut-il être compris depuis son expression la plus tangible jusqu’à son message subtil et informationnel ? Doit-on le garder en horreur ou le comprendre sous un angle plus inclusif ?


Un compromis au bonheur d’exister


Le cancer serait bien « un compromis au bonheur d’exister », selon Frédéric Thomas, biologiste de l’évolution, directeur de recherche au CNRS et codirecteur du Centre de recherches écologiques et évolutives sur le cancer (Creec). L’auteur du livre L’abominable secret du cancer exprime à travers cette assertion l’idée que le cancer n’est pas une erreur de l’évolution, mais un processus biologique « initié par un problème collatéral inhérent et inéluctable à l’évolution des organismes multicellulaires ». Historiquement, le cancer serait apparu il y a environ 1,5 milliard d’années lors de la transition entre l’unicellularité et la multicellularité, lorsque la cellule unique a commencé à se cloner et se démultiplier pour façonner des êtres vivants complexes. Les organismes se sont construits sur un système coopératif de plusieurs milliards de clones qui fonctionnent ensemble, et tout cela depuis la seule fécondation.

Si la capacité d’ériger un être humain composé de trente mille milliards de cellules à partir de deux cellules relève d’un prodige, il existe cependant un fait de « trahison », tel que nous l’explique Frédéric Thomas. En effet, ce système merveilleux issu de la sélection naturelle pousse l’ensemble de nos cellules à « travailler dans un but commun : propager le patrimoine génétique qu’elles partagent, en renonçant à leur réflexe de prolifération ancestrale égoïste pour remplir le rôle qui est le leur, dans l’intérêt collectif ». Il comporte cependant une contrepartie, celle de voir des cellules mener une forme d’insurrection et se désengager de leur fonction collective. C’est bien cela qui crée le cancer, lorsque des cellules dissidentes deviennent égoïstes, faisant ainsi muter l’ADN des cellules saines. Seulement, notre système immunitaire, tant qu’il est performant, prend en charge ces cellules rebelles avant que la cancérisation soit achevée, raison pour laquelle la majorité des cancers survient avec le vieillissement et donc, avec l’affaiblissement des défenses immunitaires. En outre, la forte augmentation du nombre de cancers ne peut être expliquée par le seul vieillissement de la population. C’est dans le contexte de vie moderne qu’il faut pousser l’investigation.

Si le cancer est le « tueur », alors « l’arme du crime » est l’émotion, en particulier le stress et le désespoir.


Comportements, environnement et augmentation du nombre de cancers


L’Organisation mondiale de la santé (OMS) avertit d’une augmentation de 60 % du nombre de cas de cancer au cours des deux décennies à venir. Le professeur Khayat, ancien chef de service de cancérologie à l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière et auteur de nombreux ouvrages sur le cancer, explique cette augmentation de deux manières. D’une part, elle tiendrait à un meilleur système de diagnostic qui modifie nécessairement les statistiques liées à la maladie, et d’autre part, à la modification des comportements humains. Tabac et alimentation représentent à eux seuls plus de 50 % des causes de cancers, 30 % sont liés à des facteurs hormonaux, et les 20 % restant se répartissent, selon le professeur Khayat, entre les cancers dus aux agents infectieux (papillomavirus, hépatites...), les facteurs environnementaux comme la radioactivité, la pollution, et pour 5 %, l’hérédité. Or, « pour qu’un cancer se forme, avec par exemple, une boule d’un centimètre de diamètre, soit 1 milliard de cellules, il faut qu’une cellule ait muté dans son patrimoine génétique, produisant une descendance infinie. Mais le clonage de cellules dissidentes est long et lorsque l’on constate une boule de cette taille, cela signifie que la première cellule malade a été produite 15 ou 20 ans auparavant », nous explique-t-il.

Mais durant toutes ces années, le processus de cancérisation est réversible, notamment en fonction des comportements et modes de vie que nous avons. Frédéric Thomas, en sa qualité d’évolutionniste, évoque alors un « mismatch », à savoir « un décalage entre les conditions de vie actuelles et l’environnement dans lequel nous avons vécu et pour lequel nous avons été optimisés pendant toute notre histoire évolutive ». Il nous invite à imaginer que l’on puisse, du jour au lendemain, nourrir les lions avec de l’herbe. Nul besoin d’être un grand vétérinaire pour prédire un avenir funeste à ces animaux, dont les conditions préalables à leur fonctionnement ne sont pas respectées. La sélection naturelle perfectionne les organismes pour qu’ils vivent en bonne santé et en harmonie dans l’environnement qui est le leur. Or, l’être humain évolue aujourd’hui en rupture avec ce qui tient lieu de « maison » originelle pour lui : la nature et ses lois fondamentales. Frédéric Thomas nous explique que « si la sélection nous a globalement optimisés pour combattre l’apparition de cancers dans des conditions d’exposition faible à des substances mutagènes, nos systèmes de défense se retrouvent à présent complètement décalés et insuffisants » devant nos comportements modernes et notre environnement pollué. Outre cette démonstration sans équivoque, le professeur Khayat ajoute un facteur essentiel à prendre en compte dans la compréhension du cancer et de sa guérison : le facteur émotionnel.


L’arme du crime : les émotions


Le professeur Khayat est connu pour avoir introduit dans la littérature grand public l’idée que si le cancer est le « tueur », alors « l’arme du crime » est l’émotion, en particulier le stress et le désespoir. Au chevet de malades du cancer pendant quarante années, ses observations l’ont conduit à admettre que « lorsqu’une cause psychique devient importante en termes de durée ou d’intensité, qu’on dépasse ses limites de capacité de gestion émotionnelle, alors les émotions peuvent être impliquées dans la survenue d’un cancer, dans l’échec des traitements, ou dans une récidive ». Il ajoute que de nombreuses études ont été menées pour démontrer, selon les exigences scientifiques, l’impact du système émotionnel sur le cancer. À ce titre, en 2016, une étude britannique menée sur quinze mille Anglais âgés de plus de quarante ans démontrait que l’anxiété provoque un doublement de la mortalité par cancer chez l’homme. De plus, le risque de cancer du sein chez la femme augmente de 35 % suite à un événement douloureux et stressant tel qu’un divorce, une séparation ou un deuil conjugal, selon une étude finlandaise menée de 1981 à 2003 sur 10 808 femmes.

Mais le professeur Khayat tempère et rassure en nous expliquant que c’est la gestion du stress et non le stress lui-même qui peut engager la genèse d’un cancer. Il y aurait ainsi des personnalités plus fragiles qui « sont exposées au risque de débordements émotionnels négatifs sur leur système immunitaire et leur métabolisme hormonal ». C’est la théorie du « fight or flight », précise le docteur en cancérologie. « Cela relève de l’instinct primaire, soit de se battre, soit de fuir (s’envoler). Tant que l’être humain est capable de faire l’un ou l’autre, de se battre ou de s’échapper, alors le stress sera utilisé dans l’action et n’aura pas de conséquence. Mais lorsque ni l’un ni l’autre n’ont pu être exprimés dans l’action, alors le stress se retourne contre l’individu et le cancer se développe. » Il cite le cas de personnes qui persistent à conserver un emploi dans lequel elles sont sujettes au harcèlement, ou dans une relation destructrice sans poser de limites, sans s’exprimer. Le déséquilibre émotionnel s’installe et « une sécrétion accrue de cortisol et d’autres substances pro-inflammatoires augmentent alors les mutations de l’ADN cellulaire, et inhibent les mécanismes de réparation de celui-ci ».

Éléonore Billy, 42 ans, musicienne, en rémission d’un cancer du sein de stade 2, exprime cet aspect émotionnel dans sa capacité de guérison rapide. « Quand j’ai appris que j’avais un cancer, il était impensable pour moi de choisir de rester recroquevillée dans mon lit pendant la durée du traitement. Je n’ai annulé que deux dates de concert pour des raisons postopératoires. En dehors de cela, je suis restée, plus que jamais, dans la vie et dans la joie, bien entourée. J’ai continué à prendre du plaisir à jouer de la musique, à courir en forêt, à voir les gens que j’aime, et pour moi cela a été déterminant dans ma capacité à guérir. Bien sûr, il y avait de la fatigue, mais je n’ai jamais quitté de vue la vie. » Si l’aspect émotionnel du cancer, depuis son développement jusqu’à sa guérison, commence à être pris en compte dans la compréhension de la maladie, il reste une dimension absente de la parole scientifique, et pour cause, elle relève de l’aspect inconscient du cancer.

Apoptose : le suicide bénéfique des cellules
Un brin d’ADN humain est composé d’une succession de trois milliards de lettres. Or, l’ADN connaît de l’instabilité et doit donc être contrôlé. Pour ce faire, il existe une sorte de « police » qui vérifie l’intégrité de ces brins d’ADN en lisant l’ensemble de ces trois milliards de lettres. Quand une erreur est détectée, à savoir qu’une mutation a eu lieu, alors l’information est donnée à la cellule. Cette dernière comprend qu’elle ne peut plus remplir son rôle et décide de se suicider pour préserver les autres cellules de cette mutation. C’est ce qu’on appelle l’apoptose. Tant que ce processus a lieu, les cellules cancéreuses sont éliminées et la bonne santé est maintenue.


Quand l’inconscient crée une opportunité de vivre


Le cas du cancer ne semble pas échapper à une logique de l’inconscient, exception faite des cancers infantiles et précoces qui semblent s’égrainer dans des petits corps innocents, loin de toutes les logiques scientifiques et symboliques. Et pour Carine et Christophe Allain, thérapeutes spécialistes de l’inconscient, le cancer chez l’être humain, dans son aspect symbolique, représente un désir d’immortalité. Mais il ne s’agit pas d’une immortalité spirituelle, au sens d’un chemin parachevé dans l’éternel absolu, mais plutôt « d’un entêtement à faire durer dans un temps long et indéfini une situation qui, de toute évidence, devrait déjà avoir disparu », nous dit Carine Allain. Elle précise que « quand il y a une sclérose dans la vie d’une personne, parce que cette dernière ne peut ou ne veut pas relever le défi de vie qui se présente à elle depuis longtemps, quand elle refuse un changement nécessaire à la vie, alors l’inconscient trouve la solution du cancer en réponse à ce désir d’éterniser un paradigme, bien qu’il soit désuet ».

Pour Christophe Allain, « le cancer peut toucher des gens qui ne savent pas être en vie sans passer par la survie ». Autrement exprimé, certaines personnes ont besoin d’être mises face à l’impermanence du corps physique pour accepter de changer de vie. D’ailleurs, le thérapeute l’exprime, à l’annonce du cancer, certains commencent à voyager, à accomplir des rêves, à s’ouvrir aux autres, à changer de travail, à déménager, à exister autrement. « Moi, je ne guéris pas les cancers, mais je traduis le message inconscient qui leur est rattaché pour que la personne se mette en mouvement et qu’elle aille vers l’état d’après », nous explique Carine Allain. Et l’état d’après, c’est la guérison. « Être malade devient alors un moyen de générer une opportunité de vivre », ajoute-t-elle. Christophe Allain la rejoint en exprimant l’idée qu’il y a derrière le cancer un refus de la vie et de sa règle fondamentale : le changement permanent. « De la même manière que les cellules cancéreuses refusent de mourir pour laisser leur place à de nouvelles cellules saines, produisant ainsi une descendance malade infinie, certaines personnes refusent de mourir à l’ancien pour rencontrer le nouveau et souhaitent immortaliser une situation. Cela est une aspiration en opposition avec le continuum de la vie. La vie, c’est la transformation permanente. »

Le cancer deviendrait alors la meilleure solution trouvée par le système inconscient d’une personne pour la faire évoluer. Et lorsqu’il n’est pas possible de se transformer dans la vie, alors c’est dans la mort que la transformation s’accomplit. Symboliquement, avoir un cancer, c’est être malade de ce qui n’est pas vécu, de ce qui n’est pas exprimé, des changements qui ne sont pas faits, de tous les non-choix qui sclérosent la circulation de la vie. Selon une vision prospective, les chercheurs pensent parvenir à « domestiquer » le cancer, notamment en travaillant par immunothérapie et peut-être, un jour, en permettant la réparation complète du gène défaillant. Et si certains y voient une forme de déterminisme lié au vieillissement des populations ou à la dégradation des conditions de vie actuelles, d’autres envisagent le cancer comme une opportunité de connaissance de soi, un vecteur de transformation profonde. Quel que soit le sens que l’on donne à cette maladie, elle reste un chemin douloureux et empreint d’une grande souffrance pour les malades qui s’y retrouvent propulsés. Le cancer est une des voies les plus brutales pour éclairer la rupture systémique qui coupe l’être humain de ses besoins fondamentaux, depuis son expression la plus dense jusqu’à la plus subtile.

Chaque année, dans le monde
Plus de 15 millions de nouveaux cas diagnostiqués
8 millions de décès
1 homme sur 8 et 1 femme sur 11 meurent de cette maladie
40 % des cas de cancer pourraient être évités


À
propos

auteur

  • Leclerc Sahra

    Journaliste
    Sahra Leclerc est journaliste spécialisée dans les philosophies orientales, l'étude de la conscience et l'interface homme-nature. Elle pratique la méditation bouddhiste depuis ses 16 ans et évolue au sein d'une double culture franco-indienne depuis plus de dix ans. ...
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Mais ce futur, si proche et loin à la fois, de quoi est-il constitué, comment fonctionne-t-il ? Ici, la métaphysique, la philosophie et les sagesses ancestrales aident à dresser un portrait-robot de ce temps à venir, qui présente parfois d’étranges interconnexions/liens avec le passé…

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