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La
flèche
du
temps
:
l’exaltante
exploration
d’un
mystère

Les prémonitions sont impossibles, et pourtant, elles arrivent souvent... Peut-on dépasser ce paradoxe tout en gardant la raison ? La recherche scientifique, qui n’offre pas encore d’explications, fourmille pourtant d’hypothèses et semble tourner autour du phénomène en cercles de plus en plus rapprochés... qui rejoignent la métaphysique.
La flèche du temps : l’exaltante exploration d’un mystère
Sciences
Dans une vaste étude de 2018 menée par les Drs Julia Mossbridge et Dean Radin, 17 à 38 % des personnes interrogées déclarent avoir vécu une expérience de prémonition. Si ce chiffre fluctue suivant les pays, régions, cultures, croyances, métiers, et selon le genre – les femmes semblent plus souvent concernées –, il n’en est pas moins présent massivement sur toute la planète. Ce phénomène rapporté, loin d’être anecdotique, semble intrinsèque à la condition humaine. Mais de quel phénomène parle-t-on ?


Quand ça ne peut plus relever du hasard...


La corrélation constatée entre une perception et l’événement qui vient la réaliser peut avoir nombre d’explications rationnelles : nos capacités innées à traiter de manière inconsciente un grand nombre d’informations pour anticiper le futur, à distordre nos souvenirs pour les rapprocher de la réalité présente, le mensonge, ou encore le pur hasard. Faute de cadre de calcul, les phénomènes constatés in vivo ne permettent pas d’évacuer rationnellement l’argument de la coïncidence. Pourtant, ils constituent un phénomène si régulier et homogène, dans des conditions souvent si fiables et exceptionnelles, qu’on est en droit d’étudier l’hypothèse rationnelle, mais très inconfortable, qu’il est « possible » qu’il s’agisse d’une manifestation du futur. Cette simple idée tourne radicalement le dos aux lois connues de la physique. Le principe d’entropie, selon lequel l’énergie va en se dispersant, donne son sens à la flèche du temps : ce mouvement n’est pas réversible. Les chercheurs qui étudient l’hypothèse de la manifestation du futur dans le présent, ou du présent dans le passé, plongent dans un abîme d’anomalie. « Sur le plan théorique, on n’a pas pied », illustre Peter Bancel, docteur en physique, passé par le laboratoire PEAR de l’université de Princeton avant de diriger les recherches de l’Institut métapsychique international, créé il y a 102 ans à Paris pour étudier les phénomènes « psi », qui ajoute : « On ne peut s’appuyer sur aucune théorie scientifique qui envisage ces phénomènes comme possibles. Et si la recherche avance très lentement, c’est aussi parce qu’ils sont très difficiles à reproduire en laboratoire. »

Les chercheurs qui étudient l’hypothèse de la manifestation du futur dans le présent, ou du présent dans le passé, plongent dans un abîme d’anomalie.


Le casse-tête du cadre d’observation


Pour étudier un phénomène, la méthode scientifique requiert deux conditions : pouvoir le reproduire de manière stable, pouvoir le mesurer de manière objective. Reproduire un phénomène de prémonition est en soi un défi. Peter Bancel poursuit : « Même si c’est répandu, on parle de sensibilité, de capacités humaines complexes dont on ne comprend ni ne maîtrise les circonstances à réunir pour pouvoir les observer. L’eau peut changer d’état. Si on veut le prouver en faisant bouillir ou geler de l’eau, on n’a que deux paramètres à faire varier : la température et l’altitude. Ronaldo est un buteur exceptionnel. Mais si, pour le prouver, on veut qu’il marque cinq buts dans le même match, combien de conditions doit-on réunir, et lesquelles ? »

Le défi de la recherche est donc de mettre en place un cadre d’expérimentation suffisamment précis et solide pour parvenir à observer une anomalie ciblée de manière régulière, réplicable. Si de nombreuses études ont enregistré des données individuelles probantes sur des phénomènes de précognition, elles font généralement débat dans leur méthode. Quelles sont alors les études auxquelles accorder un crédit raisonnable ?


Des travaux de recherche probants


Peter Bancel reconnaît la validité et la reproductibilité des travaux de Stanley Krippner. Ce docteur en psychologie s’est intéressé particulièrement aux rêves prémonitoires, et a mis en place dans les années 1970 un protocole de laboratoire qui en établit l’existence : après avoir demandé au sujet de s’endormir avec l’intention de rêver du lendemain, on observe l’activité neurologique de son sommeil pour le réveiller et noter ses rêves. Le lendemain, les chercheurs le placent dans une expérience sur laquelle il n’a pu avoir aucune information préalable, dont les contenus sont aléatoires, tirés au sort au dernier moment. Le Dr Krippner raconte le cas d’un participant qui a rêvé plusieurs fois d’oiseaux durant la nuit. Le lendemain, « l’expérience consistait à le faire asseoir et à lui mettre un casque sur les oreilles. Et qu’est-ce qui fut diffusé dans le casque ? Des cris d’oiseaux. On lui diffusa une vidéo. Et que montrait-elle ? Des images d’oiseaux. » Après huit nuits et huit jours d’observations, un jury extérieur fut appelé à examiner les corrélations entre rêves et expériences vécues. Pour chaque participant, le jury observa au moins un rêve ayant « prédit » l’expérience du lendemain.

Pour Peter Bancel, c’est aujourd’hui le protocole Ganzfeld, héritier des travaux de Krippner et mettant en évidence des perceptions non locales (télépathie, remote viewing, précognition), qui offre les meilleures garanties : « Le protocole Ganzfeld a été répété partout dans le monde en laboratoire, au Royaume-Uni, à Princeton. On compte plus de 1 000 essais avec des effets stables. Si je rentre en discussion avec un scientifique qui me dit que cet effet n’est pas reproductible, je peux affirmer le contraire de manière indiscutable. Mais comme pour les travaux de Krippner, c’est un protocole qui requiert une équipe et trois ou quatre ans de travail pour produire des résultats », explique le chercheur.


La physique en dissonance


L’idée d’un futur perçu à l’avance, qui s’apparente à un voyage conscient dans le temps, ou celle d’un présent capable de générer des perceptions dans le passé par effet de rétrocausalité interpellent la science sur deux questions fondamentales et irrésolues : la nature du temps et la nature de la conscience. La question du temps relève de la recherche en physique. Grâce à Einstein, on a découvert qu’espace et temps sont une entité unique, soumise à la gravité. Pour abolir le temps à l’échelle gravitationnelle, il faudrait des conditions extrêmes comme celles des trous noirs : une courbe gigantesque de l’espace-temps se refermant sur elle-même créerait une boucle temporelle, où passé et futur se rejoindraient. Cependant, les principes de gravitation et de relativité générale, qui encadrent la physique générale, n’ont plus cours à l’échelle subatomique : les particules qui forment la matière semblent s’affranchir des lois qui la gouvernent. À une échelle infinitésimale, dans le vide quantique, l’Univers est potentiel et discontinu. On ne peut plus y mesurer que des probabilités, au milieu de phénomènes qui ignorent les contraintes de l’espace-temps et la loi de causalité. On y constate des phénomènes d’intrication, dans lesquels plusieurs particules liées présentent instantanément les mêmes propriétés, quelle que soit la distance qui les sépare.

IMI Research, participez à la recherche !
L’étude des phénomènes de précognition dans un cadre scientifique fiable se poursuit et dépend de la quantité des sujets observés : Peter Bancel pilote un vaste projet d’étude auquel vous pouvez participer en tant que sujet, en menant les tests depuis chez vous, via le logiciel Psi@home (sur ordinateur Mac uniquement). Trois cohortes sont ouvertes : aux personnes présentant des dons psi, aux méditants expérimentés, et à tout un chacun. Ce dispositif permettra à l’IMI de lancer des études systématiques, d’y inviter des chercheurs tiers... Et peut-être à vous de découvrir vos potentiels ? Inscriptions en ligne : ici


Rétrocausalité, non-localité... Les perspectives de la mécanique quantique


À l’échelle quantique, le principe d’incertitude règne : on ne peut pas mesurer à la fois la position et la vitesse d’une particule. Les observateurs doivent choisir leur instrument de mesure... et ce choix influe sur le résultat. L’expérience de « la gomme quantique à choix retardé » proposée en 1982 par Marlan Scully et Kai Drühl, réalisée en 1998, prouve que le choix effectué par l’observateur semble même changer le « passé » de la particule ! Ce phénomène de rétroaction nourrit l’hypothèse de « rétrocausalité » portée par des philosophes depuis les années 1950, rejoints désormais par des physiciens comme Philippe Guillemant en France. Et si c’était le futur qui « tirait » le présent à lui, et si la cause de ce qui « est » se trouvait dans ce qui « doit » advenir ? Et si un « moi » futur et accompli déterminait mon présent, serait-il alors possible que « je » connaisse mon futur ?

S’il est prouvé qu’à l’échelle subatomique une influence sur le passé peut se produire, on retombe dans le domaine des hypothèses... L’humain évoluant dans la matière reste soumis aux mêmes lois que la pomme de Newton : toujours verte « avant » de devenir rouge, elle tombe invariablement de haut en bas ! La compréhension des phénomènes de prémonition et de rétrocausalité dépend de la découverte de la théorie qui unifiera les lois de la physique générale et de la physique quantique, tout en les dépassant : une théorie générale de gravitation quantique. À ce jour, les deux candidates les mieux placées sont la gravité quantique à boucles, appuyée sur l’hypothèse d’un champ quantique, et la théorie des cordes, fondée sur l’hypothèse d’un Univers à 26 dimensions, aucune d’entre elles n’étant encore validée par l’expérimentation.


Intégrer la conscience aux équations


Reste la question de l’observateur. Une nouvelle définition de la conscience est-elle nécessaire pour formuler une théorie générale pertinente ? Carlo Rovelli, physicien pionnier de la gravité quantique à boucles, écrit : « Je suis convaincu que le dialogue entre science et philosophie est nécessaire. Dans le passé, il a eu un rôle très important dans le développement de la science, particulièrement dans les moments d’évolution conceptuelle majeure de la physique théorique. »(1)

Bernardo Kastrup, docteur en philosophie, en ingénierie informatique et en intelligence artificielle, tend la main aux scientifiques en proposant un nouveau paradigme de réflexion : accepter de faire l’hypothèse que la conscience « n’est pas » la matière(2), pour prendre en compte la « qualité » des perceptions. Depuis Descartes, la métaphysique est majoritairement matérialiste : elle postule que les phénomènes « sont » la matière, que la conscience en est le produit, que nos perceptions sont « causées » par le fonctionnement de notre cerveau. Un postulat que Kastrup réfute : « L’expérimentation ne nous renseigne que sur la manière dont la nature se “comporte”, et pas sur ce qu’elle “est”. [...] Comprendre l’essence de la nature est fondamentalement au-delà de la méthode scientifique, ce qui nous laisse avec les différentes méthodes de la philosophie. »

Examinant en détail l’échec des sciences matérialistes à décrire l’expérience vécue, Kastrup passe par la théorie du champ quantique pour émettre l’hypothèse que ce champ est la conscience, comprise comme collective. Il en conclut : « Le volume de nos expériences – la vie, en résumé – est généré par notre propre capacité à créer du mythe. [...] Nous transmutons le quasi-vide en existence solide par le truchement d’une tromperie cognitive, dans laquelle nous jouons à la fois le magicien et le public. Penser la vie comme une série d’événements substantiels, accrochés à une ligne de temps, est une fantastique illusion collective. »

Docteur en anthropologie et journaliste scientifique, l’Américain Eric Wargo, chercheur en parapsychologie, lui emboîte le pas. Il a consacré deux livres aux phénomènes de prémonition : Time Loops(3) [Boucles temporelles], et Precognitive Dreamwork(4) [L’art du rêve prémonitoire] dans lesquels il examine une somme considérable de cas convaincants. Il en tire les fondements d’un art de la précognition. Le rêve est pour lui la voie royale qui relie notre conscience individuelle au champ de conscience situé hors du temps, et nous donne accès non à l’avenir universel, mais à nos propres expériences conscientes futures : le rêve en serait le matériau de construction, à l’image des particules quantiques qui constituent la matière.

« Les rêves nous montrent le futur de manière oblique, à travers des symboles, des calembours, des connexions associatives. Il y a d’importantes raisons pour lesquelles l’information refluant du futur doit d’une certaine manière être indirecte, c’est pourquoi le travail de Freud est aussi important dans l’étude de la précognition et du rêve prémonitoire. La précognition appartient au royaume de l’inconscient », explique Eric Wargo. Considérer chaque rêve comme le matériau de notre propre avenir, et apprendre à le susciter, à l’observer, à le décoder, c’est l’objet de son dernier livre, prochainement traduit en français.

Peter Bancel a récemment participé à un colloque scientifique sur la possibilité d’élaborer des machines quantiques à voyager dans le temps(5) : « Dans les ateliers de travail, j’ai osé lâcher que la machine, c’est peut-être nous. C’était un peu trop pour certains confrères, mais en coulisse, j’ai appris que pour d’autres, c’était “pourquoi pas ?” : c’est bon signe », témoigne-t-il. Les prémonitions seront-elles prochainement comprises par une théorie fondamentale cohérente ? S’il est inconfortable de les penser en l’absence de cadre, rien n’empêche de les vivre pleinement, de les raconter librement, et de chercher à s’en faire l’explorateur.

Penser hors du temps, les perspectives de la gravité quantique à boucles
Dans Et si le temps n’existait pas ? , le physicien Carlo Rovelli expose avec une grande clarté les vicissitudes de la recherche sur le temps et les fondements de la théorie de la gravité quantique à boucles, dont il est l’un des pionniers. En physique quantique, la variable temps (t) disparaît purement et simplement des équations, la matière n’est pas formée, elle devient « probable ». L’existence à l’échelle quantique d’un « champ » encore non observable gouvernant l’interaction des particules, comparable au champ gravitationnel, le situerait hors du temps. Le temps serait alors un phénomène émergent qui ne se manifeste qu’à l’échelle macroscopique, dans le contexte thermodynamique. « Si nous connaissions parfaitement tous les détails du monde, au niveau de chaque atome, nous n’aurions pas la sensation de l’écoulement du temps », écrit Carlo Rovelli. Et si, à un niveau inconscient, au niveau « subatomique de la conscience », c’était déjà le cas ?


(1) Et si le temps n’existait pas ?, Carlo Rovelli, éd. Dunod, 2021.
(2) Recueil Science Ideated, the Fall of Matter and the Contours of the Next Mainstream Scientific Worldview [Penser la science, défaite de la matière et contours de la prochaine vision scientifique prédominante de l’univers] La plupart des textes sont consultables ici
(3) Éd. Anomalist books, 2018.
(4) Éd. Inner Traditions, 2021.
(5) Quantum Time Machines, université de San Diego, juillet 2022. https://qtm2022.com
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À
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Inexploré n°56

Prémonitions

dernière parution

Qui n’a jamais été tenté de connaître son futur ?
Prédictions, prémonitions et rêves prémonitoires relèvent tous de la volonté humaine d’appréhender des bribes de l’avenir en réaction aux doutes et aux questionnements existentiels.

Mais ce futur, si proche et loin à la fois, de quoi est-il constitué, comment fonctionne-t-il ? Ici, la métaphysique, la philosophie et les sagesses ancestrales aident à dresser un portrait-robot de ce temps à venir, qui présente parfois d’étranges interconnexions/liens avec le passé…

Qu’est-ce que le temps, comment se comporte-t-il et qu’a-t-il à nous apprendre, à nous faire comprendre ? Pourquoi certaines personnes perçoivent-elles des informations semblant provenir du futur, et d’autres pas ? Peut-on se fier à ces perceptions ? L’accès à cette clairvoyance de nos destins par la divination vient-il contraindre notre libre arbitre ?
Dans ce numéro d’automne d’Inexploré, découvrez en quoi l’intuition serait la clé à ce monde de perceptions et comment mieux la cerner. Tâche ardue, mais passionnante, à la croisée de la métaphysique et des sagesses orientales… Car loin d’être un phénomène isolé, l’humanité relate, de l’Orient à l’Occident, ces émergences spontanées du futur dans notre présent. Inexploré n° 56 paraît en cet automne et vous invite à explorer le futur comme vous ne l’avez jamais aperçu… Belle découverte !

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Les
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  • Et si le temps n'existait pas ?

    Et si le temps n'existait pas ?

    par Carlo Rovelli

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