Sommes-nous réunis autour d’un grand esprit ? Souvent appelé « mémoires akashiques », le concept d’une conscience collective rôde autour de nous depuis des millénaires déjà, et pose d’immenses questions. Est-ce une des explications de nos histoires et aspirations communes ? Quels effets aurait cette conscience dans la matière, et dans nos cœurs ? Sommes-nous tous reliés ? L’invisible dévoile alors une autre facette, et les prières, les rêves ou les égrégores deviennent des clés pour se connecter à l’âme du monde…
Pendant plus de dix-sept ans, le Projet Conscience Globale a agrégé des données semblant montrer qu’une conscience humaine planétaire est à l’œuvre et se manifeste lors d’événements tragiques captant l’attention de dizaines de millions de personnes. Illusion ou véritable émergence d’une « noosphère » ...
Une conscience globale testée par la science
De l’effet Maharishi, la probabilité d’un champ unifié, à des témoignages de pratiquants de méditations collectives pour la paix, un réel changement de conscience serait-il envisageable ? Nous rassembler pour le convoquer créerait-il l’émergence d’une nouvelle conscience ?
Des prières à l’effet Maharishi
L’akasha, dont est issu le concept de mémoires akashiques, vient d’un terme sanskrit millénaire qui désigne le cinquième élément. Se pourrait-il qu’un « champ » universel et impalpable contienne toute la mémoire et le savoir ? Pourrions-nous y avoir accès ? Quelques chercheurs ...
Un savoir universel qui devient matière ?
Et si nous pouvions étudier l’invisible de manière rationnelle ? D’éminents chercheurs offrent des modèles de dimensions plus vastes que l’individu.
Ces chercheurs qui ont pensé l’invisible
Fondations de toute civilisation, les mythes sont constitutifs de nos histoires, de nos peurs, de nos failles répétitives, mais aussi de nos espoirs. Ils furent, en tout temps, de vraies lanternes sur nos chemins collectifs. Aujourd’hui, ils seraient plus que ...
Les mythes, miroirs de notre évolution
Rêver, consteller et canaliser bouscule notre conception du réel. En arrière-plan, une interrogation métaphysique : à quel « monde » se connecte-t-on ? Plus largement, peut-on choisir, dans nos vies, la fréquence sur laquelle nous nous branchons ?
Se connecter à l’âme du monde
