Imaginez une énergie qui soit propre, renouvelable, et qui se transmette d’un point à l’autre sans perdre en intensité… Cela semble trop beau pour être vrai ? Et pourtant, il y a un siècle, Nikola Tesla aurait mis en évidence l’existence d’ondes spirales aux caractéristiques prometteuses qui seraient présentes partout autour de nous.

Nous sommes dans la deuxième moitié du XIX^e siècle, Nikola Tesla – qui a notamment permis le développement et l’adoption du courant électrique alternatif – est alors considéré comme l’un des inventeurs les plus prolifiques de son époque. L’ingénieur se trouve face à un problème à résoudre : « Comment transporter de l’énergie avec le minimum de perte ? » Après avoir essayé de réduire le nombre de fils nécessaires de trois à deux, puis à un, il songe à une transmission d’énergie sans fil. C’est ainsi qu’il découvre une forme d’onde jamais mise en évidence jusqu’alors. « En même temps que Hertz, Tesla a affirmé qu’il n’y avait pas que les ondes électromagnétiques, mais aussi les ondes spirales. Il en a fait la démonstration avec une bobine spirale et une antenne sphérique. Son montage produisait des ondes spirales artificielles : lorsque l’énergie arrivait sur une antenne réceptrice, on pouvait la convertir en électricité… », partage le docteur Hervé Janecek, vétérinaire de formation et biologiste. Mais la découverte du génie s’est heurtée à une limite : à l’époque, il n’a pas pu en faire la démonstration mathématique. Et sa découverte est pour ainsi dire tombée dans l’oubli.

Les ondes du vivant

Près d’un siècle plus tard, le très réputé Konstantin Meyl, professeur universitaire de physique et d’électronique appliquées d’origine allemande, se penche en détail sur l’œuvre de Tesla. Il suppose alors que le rayonnement découvert par le chercheur correspond aux flux de neutrinos que nous recevons en permanence et en abondance. Il baptise ces ondes spirales ondes scalaires. Connues des milieux alternatifs, ces dernières sont rejetées par la science mainstream. Mais quelles seraient donc leurs propriétés, et en quoi représenteraient-elles une révolution pour l’énergie de demain ?

Hervé Janecek, qui travaille aux côtés du professeur Meyl, précise qu’« elles forment un bruit de fond naturel de la vie, qui vient du Cosmos, et du Soleil. Le centre de notre galaxie en émet beaucoup. » En forme de spirale, ou longitudinales, et non pas sinusoïdes ou transversales comme les ondes électromagnétiques, elles auraient la particularité d’être très pénétrantes, traversant même les cages de Faraday. Du fait de cette particularité, elles seraient reçues par des antennes de même forme, notamment l’ADN de chaque cellule de végétal, d’animal ou d’être humain. Chaque parcelle de notre corps et tout le vivant émettraient et recevraient en permanence ce champ. Sans pour autant parler d’ondes scalaires, deux des prix Nobel de 2015 ont en effet démontré qu’une abondance de particules élémentaires, les neutrinos, traverse l’atmosphère chaque seconde en provenance du Soleil.

Le D^r Janecek explique que « ce bruit de fond traverse notre corps à hauteur de 66 milliards de particules par centimètre carré par seconde, l’équivalent de la surface d’un ongle. De nuit, la Terre en arrête la moitié, avec 33 milliards. Par ailleurs, cette énergie est dotée d’une charge et d’une masse. » Quelle est l’utilité de ces ondes cosmiques qui nous traversent en permanence ? Aussi nécessaire que le sont l’eau et la nourriture, ce flux pourrait être indispensable à la vie. Lors d’une expérience, des lapins enfermés dans des cages de plomb épais, nourris, abreuvés, ventilés et éclairés artificiellement meurent pourtant en huit jours de ce que l’on pourrait nommer « la faim cosmique ». Les ondes scalaires auraient aussi des applications dans le domaine de la santé. Le P^r Meyl avance que les amplifier, tout en y ajoutant de l’information, permettrait d’améliorer notre bien-être. Grâce à l’électronique moderne, et en se fondant sur les schémas des brevets de Nikola Tesla, il a pu reconstruire un petit générateur de ces ondes, dont les propriétés sont en effet similaires à celles décrites par Tesla. « En son temps, l’ingénieur avait construit une bobine de treize mètres de diamètre. Avec des composants miniatures, Meyl a pu recréer des antennes de Tesla de quelques centimètres de diamètre seulement, les appareils à ondes scalaires d’aujourd’hui. » Ces appareils, les Scalar Wave Devices (SWD) ont été testés pendant plus de dix ans dans des hôpitaux avant d’être mis sur le marché. S’ils sont utilisés aujourd’hui par certains médecins, ce sont surtout les thérapeutes en médecines alternatives qui les plébiscitent. Des informations « harmonieuses » seraient ajoutées au flux des ondes scalaires en fonction des besoins : la musique de Mozart, du plasma de Quinton, des solutions homéopathiques, des graines germées qui viennent « informer » notre corps et corriger ses déséquilibres… Se placer dans un champ d’ondes scalaires de faible puissance reviendrait ainsi à se placer entre les mains d’un bon magnétiseur. Si aucune étude reconnue n’a encore pu officialiser les effets du SWD, de nombreux témoignages d’utilisateurs lui sont favorables. (...)