Par Jacques Bonvin
Difficile problème que celui des Vierges Noires !
Depuis très longtemps, elles fascinent des générations de pèlerins sans que ceux-ci puissent trouver une explication satisfaisante parmi toutes celles proposées par l'Église. Et ce problème est d'autant plus irritant que les Vierges Noires deviennent une espèce en voie de disparition. Détruites, volées ou remplacées par des copies en résine de synthèse, il n'y en a plus beaucoup aujourd'hui qui peuvent nous permettre de retrouver le secret de leur origine.
Il y eut certes des statues dont les traits étaient noirs mais on s'aperçoit, en les étudiant, que la plupart ne le sont pas mais portent toutes les mêmes couleurs symboliques : le rouge et le vert. Leurs histoires respectives, de même, rassemblent un étrange faisceau de coïncidences, illustrées par des symboles universels : Marie, en effet, c'est aussi la Mère cosmique, la matière originelle, l'Ève manifestée qui va donner naissance aux déesses mères que Saint Bernard va réintroduire dans l'Église avec le culte de "Notre-Dame", marquant ainsi la continuation de la grande tradition primordiale.
Jacques Bonvin, en étudiant les sites de Vierges Noires à la lumière de la géobiologie sacrée, a découvert que leur implantation sur le terrain n'est pas le fait du hasard. Elle correspond à des implantations telluriques précises, prenant en compte les axes solsticiaux, qui dessinent sur la carte un sceau de Salomon. Une réponse nouvelle au fascinant mystère de ces statues noires et pourtant porteuses de lumière.
Biographie de l'auteur :
Surtout connu pour ses ouvrages sur la Symbolique Romane et l'Énergétique, Jacques Bonvin a été également géobiologue pendant trente ans, fondateur de l'Académie Nationale de Géobiologie Environnementale.