Par Michel Coquet
La mort touche le monde entier depuis l'aube de l'humanité, le croyant comme l'athée, le riche comme le pauvre, nul n'y échappe, ce qui est né mourra, car telle est la Loi ! Pourtant l'homme responsable s'est depuis toujours posé la question : peut-on échapper à cette inexorable destinée En fouillant les archives du passé, en comparant le sens de la mort dans les religions, nous avons appréhendé l'essence de la Vie, et forcément son contraire, la mort. L'enseignement des sages, qu'ils soient hindous, bouddhistes, soufis ou kabbalistes, nous a appris les mécanismes précis du processus de l'abandon du corps par l'âme. Cela nous a permis non seulement de répondre à des questions fondamentales comme le coma, l'euthanasie, la réincarnation, la crémation, la bilocation, etc, mais aussi de savoir ce qu'est la vie post mortem et comment nous y préparer, car la mort est une initiation, non une fin. En ce début de troisième millénaire, une étude sérieuse s'imposait en vue de créer un lien entre la science et la religion, et d'apporter dans le coeur de chacun bien plus qu'un espoir, une vérité libératrice, une entrée dans la vie de l'âme, le but de toute existence. La mort n'est pas une fatalité car le but même de l'âme est de nous en affranchir.