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Dans
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notre
rédaction

Savez-vous que vous tenez entre vos mains des milliers d’heures de travail cumulées ? Chaque magazine est un laboratoire. D’explorations en remises en question, notre « ruche » alchimise, avec cœur et rigueur, enquêtes, entretiens et reportages à la croisée des mondes. Plongée dans le quotidien de la rédaction, pour partager avec vous ce qui nous tient en éveil.
Dans les coulisses de notre rédaction
Inspirations
Souvent, vous nous avez interrogés, voire confrontés : sur notre manière d’explorer cet Inexploré, de choisir les thématiques, de garantir notre indépendance. Aussi, une fois n’est pas coutume, nous vous parlons de nous ! De la passion qui anime l’équipe, de l’art funambule d’éditer un magazine en ces temps de crise, de la magie des synchronicités qui booste notre créativité, ou encore du sens que nous mettons dans notre « moteur ». « Cela fait quinze ans qu’Inexploré existe et qu’il évolue, pour devenir progressivement cette rédaction à 360°, avec notre magazine papier et notre plateforme digitale publiant actualités et podcasts, documentaires et séries sur Inexploré TV. Nous avons des échanges intenses avec nos lecteurs et abonnés qui nous posent parfois des questions sur notre travail. Il nous a donc semblé important, à travers ce reportage, de faire la lumière sur notre quotidien et nos enjeux en tant que média, en toute transparence », confie Sébastien Lilli, cofondateur et rédacteur en chef d’Inexploré, aussi président de l’INREES.


Résonner avec le monde


« La plus grande découverte de notre génération a été de s’apercevoir que l’être humain peut changer sa vie en modifiant sa façon de penser. » Cette citation du philosophe William James, père de la psychologie moderne, offre une clé de lecture du rapport au monde et du journalisme « façon Inexploré ». « Changer sa manière de penser, en ouvrant sa conscience, permet de percevoir le vivant, sous toutes ses formes, comme un allié », constate Sébastien Lilli. Pour ce faire, résonner avec les mondes qui nous entourent, visibles et invisibles. Cette résonance guide le choix des sujets qui animent chaque numéro. À ce propos, l’équipe plurielle, reliée par un engagement fort à nourrir le sens, se complète bien. « Les échanges alimentent la créativité et la manne d’informations, mais aiguisent aussi le regard critique, indispensable quand on traite de sujets frontière, en lien avec l’extraordinaire », poursuit Sébastien Lilli. En tant que rédacteur en chef, il se met à l’écoute du monde et des idées qui « toquent à la porte », tout en étant le garant du fil rouge du titre. « Je veille à conserver le discernement nécessaire pour ne pas tomber dans la facilité et écarter les fausses pistes », dit-il.

Melanie Chereau, rédactrice en chef adjointe et seule journaliste salariée de la rédaction, poursuit : « Se réinventer fait partie de l’ADN d’Inexploré. Il n’y a pas de routine au quotidien ! Nous travaillons sur des sujets originaux, vastes et riches, ponctués de rencontres passionnantes. C’est aussi ce qui nourrit notre attachement à ce magazine. » Contrairement aux grandes rédactions, en proie à plus de lourdeur organisationnelle, l’équipe, telle une petite famille nomade, permet cette agilité, précieuse dans notre époque en mue permanente. Revers de la médaille : la taille de la rédaction va de pair avec des moyens limités et une importante charge de travail.


Travailler avec l’invisible


réunion redac Inexploré

Une réunion semi-plénière, en plein air ! © Olivier Seignette

Si l’équipe choisit les sujets en conscience, elle se branche aussi sur l’intuition. Chaque personne, ici, entretient un rapport particulier avec l’invisible : à travers les rêves, la spiritualité, des pratiques énergétiques ou des expériences extraordinaires. Ce lien « sacré » impacte la vie du média. « Nous avons toujours été aidés par l’invisible », note Sébastien Lilli. On le constate à travers les synchronicités qui s’expriment dans une mystérieuse alchimie entre les thèmes que l’on élabore, les sujets qui s’imposent et les informations qui nous parviennent. « L’Univers conspire pour pousser des sujets en haut de la pile. C’est comme si une idée avait besoin de s’exprimer pour que le monde aille mieux », témoigne Sébastien Lilli. Personnellement, je suis émerveillée, après avoir choisi un sujet, de tomber systématiquement sur des informations qui nourrissent le travail en cours… Ce que confirme Justine Boyer, responsable de la communication et de la publication web : « Depuis que je suis dans l’équipe, j’ai vécu d’incroyables synchronicités, en lien avec les sujets publiés et en connivence avec mes collègues, dans un ping-pong d’expériences et de partages qui nous aident à progresser. »

Il y a un vrai travail éditorial à accomplir, comme vérifier et compléter les sources, surtout avec ces sujets souvent glissants.


Intégrer la complexité


Le positionnement pionnier d’Inexploré, à la croisée des mondes, entre sciences et spiritualités, visible et invisible, ajoute une bonne dose de complexité au travail. « L’une des caractéristiques majeures d’Inexploré est d’être à la recherche de connaissances transversales. C’est aussi excitant que délicat de s’intéresser aux sciences dures pour cartographier le monde physique et énergétique qui nous entoure, mais d’analyser aussi la psychologie subtile de nos émotions et pensées, d’interroger la philosophie pour mieux comprendre le monde et enfin de s’ouvrir à l’inconnu, afin de questionner les grands mystères de l’Univers », s’enthousiasme Sébastien Lilli. S’aventurer simultanément sur ces territoires amène à un journalisme rigoureux, à l’écoute et au service de la communauté. « Je vois le journaliste, sur un plan symbolique, comme un chercheur d’or immatériel », image-t-il. Enquêter devient une aventure initiatique, individuelle et collective, qui demande une certaine posture chevaleresque : « Quand on s’engage dans un sujet, il faut avoir le courage de cheminer hors des sentiers battus, de dépasser ses certitudes. D’explorer la carte, mais aussi le territoire : lire, rencontrer, enquêter, se remettre en question… Après avoir ramené dans son sac des pépites, il incombe au journaliste de séparer l’or des informations précieuses des paillettes trompeuses de nos illusions ou de la désinformation », philosophe Sébastien Lilli.


Passer au tamis les écrits


Melanie Chereau et Jérôme Saïdani

Melanie Chereau et Jérôme Saïdani construisent la maquette à quatre mains. © Olivier Seignette

Réaliser un article est donc un long voyage, intérieur et extérieur, où il va falloir s’interroger sur la légitimité du sujet et jauger s’il est en mesure d’éclairer la communauté, avant de passer au tamis toute la matière. Si ce travail revient en première instance au journaliste, sous la supervision du rédacteur en chef, il est ensuite pris en charge par la secrétaire de rédaction, casquette également portée lors des bouclages par Melanie Chereau. « Je n’aime pas trop ce terme qui ne rend pas compte de la réalité multifacette du métier : je prépare les textes pour la maquette, je corrige les fautes et réécris les textes quand il le faut. Une fois les textes maquettés par notre graphiste, je les prépare pour les deux phases de correction et je reporte sur la maquette les rectifications. Il y a un vrai travail éditorial à accomplir, comme vérifier et compléter les sources, surtout avec ces sujets souvent glissants. J’écris aussi plusieurs articles dans le magazine », détaille-t-elle.

Au moment du bouclage, les choses s’accélèrent… « Cette démarche qui nécessite nombre d’étapes est pesante pour l’équipe, mais elle est indissociable de notre responsabilité envers notre lectorat. C’est essentiel dans le journalisme d’aujourd’hui, où circule beaucoup de complaisance vis-à-vis d’une information légère ou superficielle, cherchant à briller, à susciter l’émotion, à nourrir la dualité », précise Sébastien Lilli. Inexploré n’est pas à l’abri, « alors on essaie de s’astreindre autant que possible à un journalisme exigeant, responsable, documenté, critique, qui puisse nous aider à vivre libres et conscients », poursuit-il.



Butiner « nature »
Bien que l’équipe soit soudée et complice (les moments partagés sont hauts en couleur, j’en témoigne et j’en réclame, comme mes collègues), les bureaux d’Inexploré ne ressemblent guère aux ruches bourdonnantes des rédactions d’autrefois. « J’aime bien l’image de la ruche, mais en prise directe avec le monde actuel, notre ruche est particulière : parfois, les rencontres se font dans la vraie vie, parfois en virtuel. Les canaux de discussion numériques ancrent le lien et le fruit de nos réflexions », précise Sébastien Lilli. Il est vrai que notre ruche est composée d’abeilles un peu sauvages, c’est aussi ce qui fait sa richesse : disséminées aux quatre coins de l’Hexagone, avec un important essaim en Morbihan, et au-delà, elles ont fait le saut, pour beaucoup, de butiner « nature ». « C’est en adéquation avec notre démarche, nous avons besoin de cette diversité de points de vue et de localisations qui offre une grande richesse ! »


Œuvrer en chœur


 Justine Boyer et Delphine Tandé

Justine Boyer au centre et Delphine Tandé à droite. © Olivier Seignette

« L’essentiel est invisible pour les yeux », écrivait Antoine de Saint-Exupéry. Cet essentiel, fait de plans de conscience intangibles, tisse la raison d’être d’Inexploré. Mais comment rendre visible l’invisible et l’ancrer en images ? C’est le défi relevé par Jérôme Saïdani, directeur artistique, graphiste et iconographe du magazine : « Ce regard extraordinaire et décalé sur le monde est la spécificité d’Inexploré. C’est un challenge très inspirant et ludique sur le plan artistique, cela m’oblige à faire un pas de côté », confie-t-il. Son rôle est d’imprimer une tonalité visuelle globale au titre, en conservant une identité homogène, numéro après numéro. Réaliser un magazine est donc un travail d’équipe où se conjuguent divers métiers, tous précieux pour la bonne marche de l’entreprise : journalisme, photographie, graphisme, secrétariat de rédaction, communication, ressources humaines, direction administrative et financière, manutention et expédition.

La richesse de la rédaction d’Inexploré tient à sa diversité. « L’équipe est un monde en soi, avec des parcours et des personnalités très variés, œuvrant à un changement positif pour l’avenir. Venant d’une filière scientifique, très académique, j’ai gagné en ouverture d’esprit au contact de l’équipe et des thèmes que nous abordons. Lorsque nous sommes ensemble, il n’y a pas de sujets tabous. C’est la vie dans son entièreté qui est prise en compte dans cette rédaction. Ça fait sens avec la mission d’Inexploré. On travaille, mais on rit aussi beaucoup », confie Delphine Tandé. Assistante de direction, elle revendique cette double posture de forte sensibilité à l’invisible et d’ancrage dans le réel, essentiel quand il s’agit de manier les finances et l’administratif d’Inexploré… surtout en temps d’inflation ! Elle fait aussi l’interface avec les lecteurs, les interlocuteurs et les prestataires d’Inexploré : « Je réalise la rigueur intellectuelle et l’alignement que demandent ces sujets traitant de l’humain et de l’invisible, au regard de l’impact qu’ils peuvent avoir sur le public », complète-t-elle. Toute l’équipe acquiesce, Justine Boyer en tête. En charge de mettre en ligne sur le site et les réseaux sociaux les informations et propositions d’Inexploré, elle veille : « Pour être en équilibre avec le subtil dont nous parlons, j’ai pour éthique de cultiver une communication non invasive. Je délivre les messages à délivrer, ni plus ni moins, en choisissant les termes en conscience et avec bienveillance, pour éviter toute forme de manipulation. »


Pérenniser la communauté


description

Sébastien Lilli © Olivier Seignette

En tant que journaliste freelance, j’ai toujours été impressionnée par le degré d’exigence de cette rédaction. Chaque sujet est un challenge qui pousse à se dépasser. À toutes les étapes de fabrication, l’équipe « raffine » les articles jusqu’à la quintessence. Mais une quintessence empreinte de complétude et d’exactitude. Difficile d’imaginer, en tant que lecteurs, qu’un simple article a souvent nécessité des dizaines d’heures de travail, réparties sur plusieurs semaines, voire plusieurs mois, avec des recherches, lectures, interviews, déplacements, vérifications et améliorations. Sans oublier le processus de fabrication et de diffusion. On fournit des efforts colossaux, proches de l’écriture d’un livre… sauf qu’il faut arriver à extraire quelques pages de cette materia prima.

Le défi est aussi à l’œuvre pour les films d’Inexploré TV : « Nous produisons une vingtaine de documentaires ambitieux par an, c’est plus que certaines chaînes du câble ! Dont des docu-fictions, avec parfois des reconstitutions historiques… Alors malgré les budgets serrés, nous veillons à produire de la qualité, avec des films qui “ont de la gueule” et du fond. Le fait que nous soyons producteurs et diffuseurs nous donne une vraie liberté, mais demande aussi une agilité et une créativité rares sur les projets », relate David Frécinaux, directeur de production.

Cependant, on a beau traiter de l’immatériel, on a quand même besoin du matériel ! Les finances sont souvent taboues dans le domaine de la spiritualité, mais c’est pourtant l’énergie qui donne l’élan de vie et de progrès… « Notre rédaction est le miroir de ce qui se passe dans la société. Or, l’équation est très délicate pour maintenir la qualité à un prix accessible pour le plus grand nombre, au regard de l’information exigeante que nous produisons et de la crise qui, en moins d’un an, a fait exploser le coût du papier et certains coûts de fonctionnement. Cet équilibre périlleux à trouver demande un soutien sans faille de nos lecteurs et abonnés pour donner à Inexploré la place d’un média complémentaire, mais essentiel ! Avec l’inflation qui touche tout le monde, le lecteur peut logiquement se poser la question de conserver son abonnement… Pourtant, c’est notre socle d’abonnés qui permet de garantir notre indépendance, et de maintenir cette structure qui porte en elle des projets de grande envergure et d’intérêt général. Alors, j’en profite pour remercier chaleureusement tous nos soutiens de leur confiance et de leur engagement », conclut Sébastien Lilli. C’est à ce prix que nous continuerons… à butiner l’âme du monde !

À
propos

auteur

  • Carine Anselme

    Journaliste
    Après avoir aiguisé son art journalistique en qualité de rédactrice en chef de divers magazines belges, Carine Anselme décide un jour de ne plus tremper sa plume que dans ce qui la touche au plus profond de son être et qu’elle rassemble sous le vocable « écologie humaine ». De « Psychologies magazine » (édition belge) à « Bioinfo », en passant par « Gael », « Nest » ou encore « Terre Sauvage », elle est devenue une journaliste incontournable sur tous les sujets qui touchent aux médecines altern ...
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Inexploré n°60

Nos illusions

dernière parution

Il est temps de sortir de la Matrice… D’ailleurs, y en a-t-il vraiment une ? Et si le monde qui nous entoure n’était que la projection de notre esprit ? Illusions biologiques, temporelles, intellectuelles : notre cerveau nous joue des tours ! Les spiritualités d’Orient et d’Occident l’enseignent depuis des millénaires, les sciences cognitives, la physique quantique et la psychologie apportent de nouvelles perspectives pour comprendre le réel et vivre mieux. Pour le soixantième numéro d’Inexploré, la rédaction dresse un état des lieux ambitieux de notre réalité, pour changer notre rapport à l’autre et au temps, mais aussi pour faire face à la dualité qui nous questionne tant. Bonne lecture !

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