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Mesurer
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Et s’il était possible de mesurer le niveau vibratoire de nos aliments et l’impact qu’ils ont directement sur notre corps ? Du radiesthésiste Bovis dans les années trente, aux récentes mesures photographiques du couple Kirlian, retour sur des résultats étonnants…
Mesurer l’énergie vitale de nos assiettes
Santé corps-esprit
Nous avons encore pour habitude de mesurer notre alimentation en fonction des nutriments et calories qu’elle contient, voire de son mode de culture et teneur en pesticides. Mais la composition chimique de nos repas détermine-t-elle vraiment la vitalité qu’ils nous insufflent ? Depuis plus de 90 ans, de nombreux chercheurs nous interpellent sur l’énergie subtile absorbée et véhiculée par le vivant et les aliments ne font pas exception. Leurs découvertes les présentent comme d’éventuels vecteurs d’immatériel, de forces, d’informations, de lumière et de cohérence ! De la radiesthésie à l’électrophotonique, des progrès considérables ont été réalisés et ouvrent aujourd’hui la voie à un nouveau paradigme alimentaire énergétique.


De Bovis à Simoneton : les études radiesthésiques


« La physique moderne, en disséquant attentivement la molécule, nous a fait pénétrer dans un domaine merveilleux : celui du monde atomique, dans lequel tout n’est que mouvement, rayonnement et forces encore mal connues », écrivait déjà André Simoneton en 1949, avant d’ajouter : « Si notre univers est parcouru par des ondes et si nous sommes nous-mêmes émetteurs d’ondes, il va de soi que les longueurs d’ondes sont variées et certainement mesurables. Faute d’appareil officiel pour mesurer les ondes extra-courtes, devons-nous renoncer à prospecter un domaine qui promet de si riches données pour la compréhension de notre vie ? ». Renoncer à de telles explorations ne faisait pas partie des intentions de cet ingénieur français qui passa une grande partie de sa vie à l’étude de ce qu’il appela la « radio-vitalité », à savoir la « marge de radiations recommandables pour la santé parfaite des hommes ». À défaut d’outil plus précis existant à son époque, il se tourna vers la radiesthésie, cette potentialité de « sensibilité aux radiations » que l’humain possède, non pas comme un don spécial accordé à quelques uns mais comme « la résultante d’un magnétisme général qui comprend tous les règnes ». « La radiesthésie n’est pas encore une science mais nul ne peut nier qu’elle soit un moyen d’investigation admissible et fructueux s’il est utilisé honnêtement », précisait-il.

Particulièrement intéressé par l’alimentation et la libération d’énergie qu’elle est censée procurer à notre corps, il utilisa pour ses recherches le pendule « paradiamagnétique » mis au point dans les années 1930 par le chercheur niçois André Bovis. Amélioration du pendule employé dans l’antiquité notamment par les Égyptiens, celui-ci se compose d’une petite boule en cristal de 10 grammes environ, fixée sur une pointe métallique, qui se meut dans et par les champs magnétiques. « Tout objet, liquide, solide, alimentaire ou autre émet, par ses atomes, une source de radiations ionisantes dont la force de projection d’électrons vagabonds est mesurable, explique Simoneton dans son livre Radiations des aliments – Ondes humaines et santé. Si la boule du pendule tourne, c’est qu’il y a présence d’ondes. Si elle oscille, c’est qu’elle est arrivée à la limite du champ d’action de la projection des corpuscules. » Au final, les deux chercheurs aboutirent aux mêmes conclusions quant à la radio-vitalité des aliments, notion qui tient compte de leur qualité vibratoire, contrairement à celle de calories qui n’en donne qu’un aspect quantitatif, « simpliste et insuffisant » selon Simoneton.

Pour mesurer la vitalité intrinsèque des aliments, Bovis avait conçu le « biomètre », règle graduée de 0 à 10 000 dont l’unité de mesure est l’angström (convertis plus tard en « bovis » ou « Unité Bovis » (UB)), appelée couramment aujourd’hui par les radiesthésistes « l’échelle de Bovis ». Son procédé consistait à placer un aliment à l’extrémité de son biomètre, au-dessus duquel il déplaçait lentement son pendule depuis le point zéro. « Le pendule de cristal se met à tourner lorsqu’il arrive au-dessus de la graduation de la règle qui correspond à la longueur d’onde vitale de l’aliment, nous précise le spécialiste Thierry Gautier. L’amplitude du mouvement et la rapidité de la giration du pendule sont considérées par Bovis comme des indicateurs de l’intensité des radiations vitales. ». Selon Bovis, un aliment « normal » possédait une énergie vitale d’environ 6500 UB ou Angström. Simoneton confirma ces mesures : « Chez des personnes malades ou des sujets soumis à des régimes alimentaires qui ne leur sont nullement favorables, nous avons toujours constaté des longueurs d’ondes inférieures à 6500 Å. » L’un comme l’autre classèrent au-dessus de 6500 Å les aliments riches ou « supérieurs » comme les fruits frais bien mûrs, les légumes crus ou cuits à l’étouffée, le pain biologique, les oléagineux et les œufs du jour, en-dessous les aliments dits « de soutien » comme le lait frais, les légumes cuits à l’eau bouillante, les poissons de mer cuits, et en bas de l’échelle, les aliments dits « inférieurs » comme la viande cuite, le café ou le pain blanc. Les aliments « morts » n’émettraient quant à eux aucune radiation décelable (c’est le cas des conserves, de la plupart des alcools et des sucres raffinés). Notons que la radiation des fruits et légumes chute très rapidement après la cueillette (alors qu’une pomme dans l’arbre rayonnerait à 7000 UB, deux jours plus tard, sa vitalité ne serait plus que de 5000 UB) et que certains types de cuisson comme la cocotte-minute, l’eau bouillante prolongée, les grillades, la friture altèrent significativement la qualité des aliments, voire la détruisent complètement comme c’est le cas du micro-ondes. « Nos aliments pour nous être profitables doivent émettre une radiation au moins égale à celle de l’homme », insistait Simoneton avant de conclure : « Le secret d’une nourriture fortifiante réside dans l’excellence de ses radiations ».


Des photos Kirlian à l’électro-photonique


Toujours dans les années 1940, à l’autre bout du globe, d’autres chercheurs firent des découvertes significatives quant à l’énergie vitale absorbée et rayonnée par tout élément vivant et à la possibilité de la mesurer avec des procédés de plus en plus pointus.

C’est accidentellement que l’électricien russe Semyon Kirlian posa sa pierre à l’édifice en découvrant par hasard ce que l’on appellera plus tard « l’effet Kirlian ». Alors qu’il tentait de réparer un générateur à haute fréquence dans un l’hôpital, il fut traversé par une décharge électrique provoquant des rayonnements colorés tout autour de son corps. Le phénomène fut tellement surprenant qu’il chercha et parvint, avec l’aide de son épouse, à le reproduire et le photographier. Tous leurs clichés révélèrent la présence d’un halo lumineux autour des objets ou des personnes quand on les soumet à un champ électrique à haute fréquence. Si de nombreux médiums, spiritualistes et parapsychologues s’emparèrent de l’expérience comme preuve de l’existence de l’âme humaine et de son « aura », l’invention de la « photo Kirlian » n’en reste pas moins une avancée scientifique sans précédent. En 1949, après avoir amélioré le procédé, les époux Kirlian reçurent l’aval de l’Académie des sciences soviétiques pour poursuivre leurs travaux en laboratoire. En les étendant au règne végétal, ils notèrent une diminution des rayonnements lumineux au fur et à mesure du vieillissement d’une plante ou d’un fruit, mais aussi en cas de maladie. Selon Joël Acremant, expert en alimentation saine et médecine naturelle, « si d’autres méthodes comme la cristallisation sensible nous faisaient déjà apercevoir la pulsion des forces de vie présente en toute chose (que les hindous appelaient « prana »), les très intéressantes recherches soviétiques sur l’effet Kirlian nous font franchir un pas de plus en montrant clairement l’émanation lumineuse de ces forces éthériques incarnées dans tout corps vivant. »

Et le progrès ne s’est pas arrêté là ! Quelques années plus tard, le professeur Konstantin Korotkov, docteur en électronique physique et en ingénierie médicale, et son équipe de chercheurs de l’Université de St-Petersbourg reprirent les travaux des époux Kirlian et démontrèrent que l’« effet Kirlian » résulte en réalité d’une excitation électrique des gaz diffusés par tout objet soumis à un champ électrique à haute fréquence, provoquant un effet « couronne » autour de la peau. Père de l’électro-photonique, en inventant la caméra GDV (Gaz Discharge Visualisation), miniaturisée depuis sous le nom de « Bio-well », Korotkov mit au point un système numérisé qui permet en moins d’une minute d’évaluer la vitalité d’un aliment ou d’un humain de par la quantité et la puissance des photons qu’ils émettent.

D’après l’un de ses collaborateurs français, Christian Bordes, spécialiste en bio-nutrition, directeur du département d’électro-photonique à l’Université de Madrid, « nous pouvons aujourd’hui grâce à ces outils connaître la valeur intrinsèque vibratoire d’un aliment mais aussi sa compatibilité avec un être humain. En quelques secondes, le nouveau système Bio-Well 2 nous permet de voir comment l’aliment absorbé, en fonction de son énergie intrinsèque, va déployer celle de l’humain, et quel sera son impact sur les méridiens de la personne, ses organes, ses systèmes ortho-para-sympathique, l’épaisseur et la symétrie de son champ énergétique, etc. La réactivité du corps et la rapidité d’exécution des mesures sont étonnantes ! » Selon lui, alors que l’utilisation de la radiesthésie, de la cristallisation sensible ou des photographies de cristaux d’eau de Masaru Emoto demeure contraignante et leur interprétation subjective et sujette aux controverses, avec l’électro-photonique, nous disposons aujourd’hui d’un procédé très rigoureux, mathématique et scientifique.

« Au travers de milliers de mesures qui ont été corrélées avec les procédés classiques, trente ans de recherche universitaire et d’études menées par les ministères russes et biélorusses de l’armée et de la santé ont poussé l’électro-photonique au plus haut niveau. L’énergie du vivant qui était souvent remise en question, considérée comme floue et empirique, est désormais mesurable avec une précision inouïe ! ». À titre d’exemples, les mesures prises sur l’une de ses patientes fin 2019 mettent en évidence un champ global d’énergie passant de 22 à 40 joules en quelques secondes après absorption d’un fruit frais biologique. Une autre de ses études datant de février dernier révèle qu’un simple contact avec de la propolis fraîche au niveau du thymus fait baisser instantanément le niveau de stress de la personne testée de 2,65 à 2,39 et fait monter son niveau d’énergie de 72,51 à 77,77. En outre, l’électro-photonique permet d’évaluer le niveau d’entropie d’un aliment au fur et à mesure des informations environnementales qu’il « absorbe » et qui influencent sa vitalité.

Les recherches dans ce domaine ne cessent de se démultiplier. Menées actuellement par des biophysiciens, physiologistes, médecins, thérapeutes et chercheurs universitaires dans près de 75 pays, elles fournissent une base scientifique solide à la notion d’énergie informationnelle au sein du vivant. Alors que la vieille école de pensée nutritionniste nous conseillait de manger environ 800 calories par repas pour nous maintenir en bonne santé, nous savons aujourd’hui que celles-ci ne nous procureront pas la même vitalité si elles proviennent d’une nourriture industrielle cuite au micro-ondes ou de fruits et légumes biologiques, de saison, fraîchement cueillis et cuisinés à l’étouffée avec amour. Dans une interview accordée à la revue Le Chant de la Licorne en 1986, Joël Acremant soulignait déjà que « l’étude des forces éthériques montre à quel point l’opulence alimentaire s’est faite au détriment de la qualité intime des substances. Nous disposons de plus en plus d’aliments “vides” et “morts”. Les manipulations les plus courantes : conditionnement sous vide, stérilisation, lyophilisation, surgélation, l’utilisation de plus en plus grande de plastique et d’aluminium, et l’ajout de milliers d’additifs nous donnent finalement des aliments affaiblis qui nous affaiblissent. » « Le concept de calories relève désormais de la diététique ancienne, termine Christian Bordes. Ce qui nous nourrit véritablement dans notre alimentation, ce sont les électrons et photons que les fruits et légumes ont stocké dans leur structure ADN et leur eau et qu’ils sont capables de nous restituer si on ne les détruit pas auparavant. Nos aliments sont-ils gorgés de photons ? Voilà la base du nouveau paradigme alimentaire énergétique ! »


1) Depuis une dizaine d’années, certains radiesthésistes estiment que l’équilibre biotique (la vibration correspondant à l’état idéal de santé) serait maintenant de 12 500 UB, en augmentation permanente, du fait de l’élévation du taux vibratoire de la Terre. Tout aliment ou autre influence rayonnant à un taux inférieur provoquerait une perte d’énergie.

À
propos

auteur

  • Claire Eggermont

    Journaliste et auteure
    Collaboratrice de Pierre Rabhi pendant plus de dix ans, cofondatrice du Mouvement Colibris, Claire Eggermont est encore à ce jour rédactrice de ses chroniques pour le magazine Kaizen et l’épaule régulièrement dans les multiples sollicitations éditoriales qu’il reçoit. Elle est également journaliste indépendante sur les thématiques de l’écologie et des alternatives, du changement humain et développement personnel, des sagesses anciennes et des nouvelles sciences, quantiques notamment, ainsi que s ...
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