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Hypersensibilité,
le
syndrome
de
Neptune

Révélé par la Dʳᵉ Janine Fontaine, visionnaire de la médecine énergétique, le syndrome de Neptune témoigne de symptômes non répertoriés par la médecine officielle. En toile de fond, une réceptivité exacerbée au monde ordinaire, doublée d’une porosité à l’invisible. Anamnèse d’un phénomène étrange.
Hypersensibilité, le syndrome de Neptune
Art de vivre
« Depuis mon enfance, je ressens plus que les autres les non-dits, les problèmes de chacun. Pendant mon adolescence, j’ai essayé d’en parler à mes parents, mais ils disaient que c’était le fruit de mon imagination. Pourtant les faits étaient là : j’avais des intuitions extraordinaires et j’arrivais à prévoir des choses imprévisibles. Le plus difficile pour moi est de faire des malaises en présence de certaines personnes (maladies avérées ou à venir, mort imminente...) ou en des lieux où l’ambiance est malsaine... J’ai souvent le sentiment de ne pas vivre dans le même monde que les autres », écrit un lecteur à la Dre Janine Fontaine, auteure du livre Le syndrome de Neptune (1). Cet homme se reconnaît ainsi dans les caractéristiques majeures de ce syndrome méconnu : hypersensibilité et hyperempathie.


Aller-retour entre les mondes


Cette porosité, plus ou moins marquée, place ces individus à cheval « entre les rives ». « Ils vivent de fréquents allers-retours avec l’au-delà, avec l’invisible », explique la psychologue clinicienne et psychothérapeute Patricia Serin. Leur conscience transite de l’un à l’autre. Comme si, chez eux, les cloisons entre le monde ordinaire et le subtil étaient transparentes (nous verrons plus loin que ce n’est pas qu’une image...). Entre autres manifestations en lien avec le syndrome de Neptune et son hyperempathie, on retrouve une profonde intuition ; une capacité à percevoir les choses avec une grande acuité, pouvant aller jusqu’à la clairvoyance et la prémonition. Mais aussi des sensations corporelles d’intensité ou de gravité amplifiées par les circonstances. Certains relatent des expériences paranormales et mystiques, ponctuées d’OBE (Out-of-Body Experience, ou expériences de sorties de corps), de ressentis étranges et autres visions surréalistes. Des phénomènes parfois vécus de façon si intense qu’ils peuvent faire craindre la folie. Cela peut alors se retourner contre eux, avec une propension aux addictions. Ce syndrome multiforme flirte donc, voire se confond, avec d’autres troubles principalement mentaux. D’où une difficulté à le cerner.


Une anomalie des corps invisibles


Malgré une formation très scientifique d’anesthésiste, la Dre Janine Fontaine a exploré d’autres courants de soins – elle est ainsi allée à la rencontre de guérisseurs philippins. Dans son best-seller, Médecin des trois corps, elle avait déjà évoqué cet étonnant syndrome de Neptune. En s’appuyant sur les découvertes en physique quantique, elle nous rappelle que nous sommes constitués de trois corps : le physique, l’énergétique et le spirituel – les derniers étant vibratoires.

C’est ainsi qu’elle évoque, à propos de ce syndrome, une anomalie des corps invisibles. L’examen « clinique » du sujet, selon son approche, consiste en la prise du pouls du patient (selon la méthode du Dr Paul Nogier), combinée à la détection des manifestations des différents corps subtils. « Chez un sujet lambda et en bonne santé, le corps énergétique est constitué de sept orbes successifs (sur le modèle de l’atome de Niels Bohr) relativement rapprochés l’un de l’autre, et donc tous perceptibles par cette technique, car proches du corps. Chez les sujets présentant le syndrome de Neptune, on constate un espacement entre les orbes qui est significativement augmenté », décrypte Janine Fontaine. « Or, poursuit-elle, toute action psychologique se révèle inefficace si les corps-énergies sont en dysfonctionnement. » De l’importance de remettre de la cohésion. L’autre aspect fondamental du syndrome de Neptune se trouve dans le thème de naissance du sujet, à savoir la valorisation de la planète Neptune.

« Cette planète est “d’eau”, potentialisée par sa position dans l’un des signes d’eau et en rapport avec la Lune, autre planète d’eau. » C’est donc, d’une part, l’examen du sujet et de ses corps subtils et, d’autre part, l’analyse ciblée du thème astral (à la recherche d’éléments spécifiques) qui permettra de conforter ou non cette hypothèse du syndrome de Neptune. Ainsi, mieux informées sur les spécificités de ce syndrome, les personnes présentant de telles perceptions non ordinaires, dans ce cadre bien particulier, pourront être rassurées.(...)

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  • Carine Anselme

    Journaliste
    Après avoir aiguisé son art journalistique en qualité de rédactrice en chef de divers magazines belges, Carine Anselme décide un jour de ne plus tremper sa plume que dans ce qui la touche au plus profond de son être et qu’elle rassemble sous le vocable « écologie humaine ». De « Psychologies magazine » (édition belge) à « Bioinfo », en passant par « Gael », « Nest » ou encore « Terre Sauvage », elle est devenue une journaliste incontournable sur tous les sujets qui touchent aux médecines altern ...
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Au-delà : si la mort n'est pas la fin...

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L'ensemble des phénomènes étranges liés à l’étude de la conscience : expériences de mort imminente, sorties hors du corps, médiumnité... semblent indiquer la survivance de l’esprit ou d’une forme de mémoire. Mais avons-nous pris la mesure de ce que soulève vraiment cette perspective, sur notre psyché, notre société ? Si la mort n’est pas la fin, comment repenser le chemin du deuil, l’épreuve la plus sensible et difficile qui soit ? Vers quelles contrées allons nous au moment du départ ? Si la mort n’est pas la fin, peut-être a-t-elle alors un sens ?
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