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Guérisons
miracles

Pied de nez au matérialisme scientifique, les guérisons « miracles » et rémissions spontanées déjouent les pronostics les plus pessimistes de la médecine. Ces « résurrections » inespérées relèvent de l’Éveil. La conscience s’éclaire, le corps guérit. Une expérience cellulaire, synonyme de renaissance.
Guérisons miracles
Santé corps-esprit
Depuis l’enfance, Céline vibre de toutes ses cellules pour la danse. Après un échec injuste lors d’une audition au Conservatoire, elle s’en prend à l’Univers : « Plutôt perdre mes jambes que de revivre ça ! » Quelques semaines plus tard, une sciatique la terrasse et empire. Diagnostic : trois hernies discales. À 16 ans, les chirurgiens refusent de l’opérer ; trop de risques de terminer en chaise roulante. Fini la danse ! Contre l’avis médical, elle devient serveuse à 18 ans, à défaut d’être danseuse. « Je conçois bien la puissance de mon esprit qui a ouvert la porte aux indésirables, présents dans ma colonne vertébrale », dit-elle.

Un matin au réveil, elle ne sent plus ses orteils. Le médecin du SAMU qui l’ausculte lui annonce sans ménagement qu’elle a perdu ses jambes, sans doute à jamais... Elle le met à la porte ; la jeune femme a déjà dû abandonner son rêve, elle ne s’imagine pas quitter son métier. Une fois seule, une conviction profonde la traverse... « Je perçois une présence dans la pièce. Comme si l’air s’était densifié. C’est très subtil, mais je ressens ce que j’éprouvais sur scène. Cette lumière d’amour qui m’enveloppe me paraît lointaine, mais elle est là. Mon cœur se gonfle d’espoir. Je me concentre sur mes orteils : bougez ! Je me pince les cuisses pour sentir la douleur, rien ne se passe. » Le temps lui semble sans limites. « Comme si l’Univers m’attendait, quoi qu’il arrive. » Au bout de deux heures, son gros orteil droit bouge, puis peu à peu tous les autres. Le soir même, miracle : Céline est à son poste, en boitillant, mais debout. « Tant de fois, j’ai voulu retrouver ce médecin pour lui prouver que tout est possible, j’en suis la preuve ! »


La grâce à l’œuvre


L’histoire de Céline fait partie des cents récits éclairés livrés par Gregory Mutombo dans son nouvel ouvrage, Le souffle de la grâce. Cet ancien parachutiste et officier de la gendarmerie a sillonné, durant près de deux décennies, un monde en proie aux plus vives dissensions – témoignant, dans la chair du réel, de notre séparation intérieure. Confronté à l’humanité sans fard, il devient un conférencier inspirant, ébranlant dans ses certitudes tout ce qui vient à lui. « Je ne fais pas du développement, mais du dépouillement personnel – de tous les artifices qui nous empêchent de faire l’expérience de notre nature originelle, de notre unité », confie-t-il. La grâce et la guérison, Gregory Mutombo est tombé dedans en naissant... « J’ai six ans. Mon père est victime d’un accident de la route. Projeté à 30 mètres, touché à la moelle épinière, il devient paraplégique. Une semaine plus tard, il remarche, provoquant l’incompréhension des médecins. Durant l’accident, il a la vision de son grand-père décédé qui lui dit que tout va bien se passer, qu’il s’agit juste d’une expérience. » Témoin direct d’un miracle sortant de la droite ligne des prévisions, Gregory Mutombo se dit en contact avec une dimension d’intelligence donnant à percevoir et expérimenter des forces qui surpassent les lois humaines, physiques, médicales.

« Depuis l’enfance, je crois aux miracles, au corps capable de s’autorégénérer. » Lui-même, durant tout son exigeant périple militaire, va transcender les limites et se retrouver confronté à bien des situations qui, depuis un « point de vue séparé et analytique », semblaient très mal engagées... Il se fait naturellement le « haut-parleur » de ces fréquences-là. « La grâce a œuvré à de nombreuses reprises. J’ai été ainsi grièvement blessé en 2006 à la colonne vertébrale, alors que nous tentions d’apaiser de vives tensions entre tribus en Océanie. Résultat : une jambe paralysée... dont je retrouve l’usage un mois plus tard, suscitant, comme mon père, l’incrédulité des médecins. »


S’aligner sur l’impulsion de vie


Comme l’affirme un adage spirituel éprouvé : « Rien n’est miraculeux, à moins que tout le soit. » Pour Deepak Chopra, qui prône une science élargie, intégrant le spirituel, la vie trouve le moyen de prospérer, guidée par l’impulsion consciente, intelligente et créative de l’univers. « Les miracles arrivent justement lorsqu’on s’aligne sur cette impulsion », écrit-il en préface du livre du Dr Bernie Siegel, Une brassée de miracles, suite de son best-seller L’amour, la médecine et les miracles (éd. J’ai Lu). « À mes yeux, les miracles nous parlent de notre potentiel et des ressources d’origine dont nous disposons », résume Bernie Siegel. Pour lui, la nature même de la vie nous montre qu’elle est miracle, « sans quoi nous ne survivrions pas à une simple coupure au doigt ». Il est en chacun de nous, disent les mystiques, un lieu sans conflit. La notion même de problème, de maladie, de souffrance ne peut y exister. « Dans cet espace de conscience, cela n’a tout simplement aucun sens », souligne Gérard Saksik, coauteur de ris et murmures du corps (éd. Le Souffle d’Or, 2019).

Peut-être l’éveil de guérison permet-il de (se) connecter à cet espace de conscience non due ? Or, le corps est le siège de croyances en des règles physiques apparemment immuables, martelées dès l’enfance : telle cause engendre tel effet, preuves scientifiques à l’appui. « C’est faire fi des guérisons miraculeuses, des rémissions spontanées, documentées, qui déjouent tous les pronostics. Or, s’il y a une exception, c’est que la règle est fausse. Ce qu’un homme peut faire, d’autres peuvent potentiellement le faire. Se fondre dans le miracle permanent est un état bien plus naturel que l’homme ne le conçoit. Nous reconnaissons le miracle dans la récupération d’un état physiologique “normal” après un cortège de symptômes, mais nous ne reconnaissons pas le miracle dans le fonctionnement physiologique lui-même. Par là même, nous refusons à ce corps son statut d’interface d’une intelligence et de forces qui débordent l’intellect humain », relève Gregory Mutombo.


Et pourquoi pas ?


Pour que la grâce « miraculeuse » puisse agir, guérir, encore faut-il accepter qu’elle soit là... Il s’agit, selon Gregory Mutombo, de faire l’expérience d’un « et pourquoi pas ? »

Depuis l’enfance, je crois aux miracles, au corps capable de s’autorégénérer.


Dans cet abandon, qui ne signifie nullement baisser les bras ni délaisser les soins médicaux nécessaires, on se place au service d’une force plus grande. « J’ai atteint les limites de ce qu’un humain, un ego séparé, peut réaliser ; ce faisant, je m’ouvre totalement à l’Univers, sans attente. » Pendant ce moment de grâce, on cesse de croire à cette idée de séparation. « Nous sommes, là, dans le réapprentissage de ce qui n’a jamais cessé d’être : notre union au grand Tout. La grâce est une expérience cellulaire – on vit au cœur de nos cellules l’expérience directe de la connexion avec tout ce qui est. » Sue Memhard, elle, s’est confiée à Bernie Siegel dans Une brassée de miracles. Elle a survécu à deux cancers du sein. Lors d’une récidive sévère, avec métastases, elle n’a plus eu d’autre choix que de trouver des traitements alternatifs (acupuncture, yoga, etc.), ne supportant plus les chimiothérapies.

Une guérisseuse l’aide à mettre au jour des croyances et émotions perturbatrices. Comme le dit William Blake, nous sommes souvent enchaînés par des « menottes forgées par l’esprit » ! Sue Memhard dit avoir pratiqué sans relâche cet abandon à plus grand que soi. « À mesure que je labourais mes couches mentales, émotionnelles et spirituelles, mon cœur commençait à s’ouvrir. Je sentais la lumière me pénétrer et la pression que le cancer m’imposait commençait à baisser... Un jour, le lâcher-prise devient réel dans mon corps... Les cellules cancéreuses se meurent. J’ai appris que le cancer était un tyran issu du passé. Oui, on peut le traiter à coup d’opérations, de médicaments qui prolongent la vie, mais l’âme en espère davantage. Lorsque l’âme est résolue à guérir, le corps peut suivre, et ces choses qu’on appelle “miracles” peuvent alors arriver », partage-t-elle.


De l’infinitude du corps


Tout dérèglement, s’exprimant sous forme de symptômes, active notre libre arbitre : nous avons le choix d’envisager l’épreuve comme une fatalité, ou d’éclairer cette limitation afin de voir ce qui pourrait la remplacer... Ce choix engageant, Gregory Mutombo y est confronté régulièrement. Il lui semble impossible de parler de grâce et de guérison sans incarner ce qu’il transmet ; d’où notamment son engagement militaire, qui lui a permis d’aller se frotter aux lisières du monde et de ses propres limites. Or, le corps, lieu de l’incarnation, est le plus directement disponible pour les prises de conscience sur les plans plus subtils. Cet « expérienceur » se laisse donc traverser par les informations cellulaires erronées, « héritage de croyances antédiluviennes », et voit remonter à la surface d’impressionnants symptômes.

« Par chance, ma femme est médecin, angiologue [spécialiste de la médecine vasculaire, NDLR], car avec les symptômes que je manifeste (tension de 11 au bras droit, 18 au bras gauche ; infarctus aortique...), il y aurait urgence à aller aux urgences », relève Gregory Mutombo. Cela oblige son épouse à dépasser la vision enseignée en médecine, qui veut que tel symptôme égale telle conséquence. Parfois, le « décor » semble si réel que les peurs ancestrales remontent. « Il faut les accepter pour pouvoir les transcender. Si je me laissais gagner par la peur, je validerais le pronostic envisagé. Depuis que j’ai cessé de croire à cette fatalité, je parviens à moduler ma tension, sans effet délétère », poursuit Gregory. Cet itinéraire-là exige une foi, une verticalité et une maîtrise immenses. Car dès que la peur se manifeste, le symptôme gagne... De l’importance, sur un tel trajet d’ancrage et d’ouverture de conscience, d’être accompagné en parallèle par un suivi médical. « Envisager l’infinitude du corps signifie qu’il est essentiel de redonner à cet écrin sa fonction première de lieu où la conscience universelle s’expérimente. »

Le Bureau des miracles
Durant douze ans, le Dr Patrick Theillier a été responsable du Bureau des constatations médicales, à Lourdes. « Chaque pèlerin venu témoigner d’une grâce de guérison reçue m’a affirmé avoir été touché dans tout son être, pas seulement dans le psychosomatique, mais aussi au niveau du cœur profond, ce lieu sacré reconnu par toutes les traditions. » Ce retournement intérieur aboutit à un changement de vie radical. De par sa nature, l’homme appartient simultanément au monde matériel par son corps et au monde spirituel par son esprit. Il est l’intrication de deux mondes opposés : un fini et un infini, un limité et un illimité, un matériel et un immatériel. « C’est en prenant en considération ces trois entités qui agissent de concert, l’esprit, l’âme et le corps, interférant l’un sur l’autre, que nous allons pouvoir embrasser la réalité des mystères, en particulier des miracles, tels ceux de Lourdes. »
Comme l’affirmait Saint Augustin : « Le miracle ne contredit pas la nature, il contredit la connaissance que nous en avons. »


Épiphanie


« Le miracle, qui apparaît comme un hiatus, un “trou” dans notre savoir scientifique, n’a-t-il pas pour vocation de nous tourner vers l’invisible, vers le surnaturel, vers le transcendant ? » Ainsi nous interpelle le Dr Patrick Theillier, auteur de Lourdes, terre de guérisons. Certains hauts lieux spirituels sont, en effet, le théâtre de guérisons miracles, Lourdes en tête (voir encadré). Mais il arrive également que des visions ou des rêves soient à l’origine d’un point de bascule « miraculeux », provoquant un éveil de guérison. Marilyn Becker Gilliom, peu de temps après que son mari l’a quittée, souffre d’une récidive de cancer au « stade terminal », aux dires de cinq médecins. On l’opère cependant et elle subit une radiothérapie. « Un soir, dans ma nouvelle maison, alors que je m’endormais, j’ai soudain senti une présence dans la pièce. J’ai vu un esprit vêtu d’une robe et de sandales. Il émanait de lui une lumière blanche aveuglante de ses mains. Cette lumière m’a lavée de la tête aux pieds. À cet instant, j’ai su que j’étais guérie », confie-t-elle au Dr Bernie Siegel. Au grand étonnement de ses médecins, elle survit. D’autres ouvertures de conscience, telle la transe, spontanée ou induite, peuvent déboucher sur des guérisons inespérées.

« En état de conscience modifié, tout se passe comme si la conscience pouvait s’affranchir des contraintes corporelles, spatiales, temporelles et de la logique raisonnante. Il y a une sorte d’expansion, d’ouverture, de libération, permettant à la conscience d’accéder potentiellement à n’importe quelle information de l’univers. Grâce au dispositif thérapeutique – ici, la respiration holotropique –, mais aussi grâce à l’inconscient du sujet, l’entrée en transe permet d’ouvrir nos perceptions à 360° et de ramener à la surface les informations les plus nécessaires à l’évolution et la guérison du sujet, bloquées jusque-là par ce noyau de souffrance à mettre au jour », décrypte le psychanalyste Gérald Leroy-Terquem, coauteur d’un livre inédit sur Les processus de guérison. En adoptant cet état mental permanent du « et pourquoi pas ? », même si la situation semble sans espoir, nous laissons la porte ouverte à une issue « autre » que celle que pourrait imaginer notre intellect... Et il n’y a pas de domaines profanes pour cela ! Votre voiture rend l’âme sur le bord de la route ? Dans cette ouverture de plus en plus ample, la grâce peut se manifester : il arrive que la voiture redémarre comme par miracle ou que quelqu’un s’arrête pour vous dépanner... « J’aime que la grâce œuvre au quotidien. Cela alimente une gratitude, source d’émerveillement... qui nous ouvre aux miracles », conclut Gregory Mutombo. Alors, l’exceptionnel devient la norme.

Les 9 clés de la rémission radicale
Dans Les 9 clés de la rémission, le Dr Kelly Turner, chercheuse en oncologie intégrative, identifie neuf facteurs présents dans les rémissions radicales de cancer, dont sept sont d’ordre psychologique :

1. Avoir une bonne raison de vivre
2. Libérer ses émotions réprimées
3. Bénéficier d’un soutien psychosocial
4. Augmenter les émotions positives
5. Approfondir sa connexion spirituelle
6. Changer radicalement son alimentation
7. Prendre le contrôle de sa santé
8. Suivre son intuition
9. Utiliser des plantes et des compléments alimentaires

Les 9 clés de la rémission, ed. Flammarion, 2017.


À
propos

auteur

  • Carine Anselme

    Journaliste
    Après avoir aiguisé son art journalistique en qualité de rédactrice en chef de divers magazines belges, Carine Anselme décide un jour de ne plus tremper sa plume que dans ce qui la touche au plus profond de son être et qu’elle rassemble sous le vocable « écologie humaine ». De « Psychologies magazine » (édition belge) à « Bioinfo », en passant par « Gael », « Nest » ou encore « Terre Sauvage », elle est devenue une journaliste incontournable sur tous les sujets qui touchent aux médecines altern ...
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Inexploré n°44

Miracles ! Ces éveils qui guérissent...

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Rémissions impossibles ou guérisons spectaculaires. Nous en avons tous entendu parler, certains d’entre nous ont pu en être témoins, quelques autres, plus rares, en ont vécu. Les miracles mettent à rude épreuve les pronostics médicaux, et notre rapport à l’invisible. Quels peuvent être les mécanismes de telles manifestations ? Peut-on trouver des similitudes avec la transe chamanique, dont on commence à reconnaître scientifiquement les effets bénéfiques sur notre santé ?
Car au-delà de la croyance, au-delà de la connaissance, il s’agit peut-être d’avoir à nouveau confiance dans une dimension spirituelle à la fois intime, et plus grande que nous. La Rédaction explore ces questions dans le nouvel Inexploré n°44, avec en tête l’idée que l’inexplicable bouleverse bel et bien notre vision du monde…

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